on ne fait pas culpabiliser ceux qui veulent des enfants ou ceux qui en ont, et qui croulent déjà sous les injonctions sociales, sociétales et familiales
Je n’ai pas l’impression qu’il fasse culpabiliser, plus que c’est un constat qui est déjà vrai pour nous : on a une vie moins confortable que la génération précédente
Et j’ajoute que je n’ai pas l’impression d’avoir une vie moins confortable que la génération précédente. Une vie différente, certes. On n’a pas les mêmes aspirations, on est peut-être plus angoissé, on s’interdit peut-être plus de choses (voyages longues distances et bouffe carnée principalement pour ma part). Après, tout dépend de ce qui se cache derrière le mot confort.
Pour moi c’est surtout ça (crises à répétition depuis des années) et l’accès au logement. Sur ces deux points, j’ai l’impression que la génération précédente était quand même mieux placée.
Je n’ai pas l’impression qu’il fasse culpabiliser, plus que c’est un constat qui est déjà vrai pour nous : on a une vie moins confortable que la génération précédente
C’est culpabilisant, comme si on ne se posait pas la question déjà chaque jour (et pas que pour l’écologie), enfin c’est mon cas.
Je pense avoir un jour des enfants, je ne l’ai pas pris comme ça, mais je vois ton point de vue
Et j’ajoute que je n’ai pas l’impression d’avoir une vie moins confortable que la génération précédente. Une vie différente, certes. On n’a pas les mêmes aspirations, on est peut-être plus angoissé, on s’interdit peut-être plus de choses (voyages longues distances et bouffe carnée principalement pour ma part). Après, tout dépend de ce qui se cache derrière le mot confort.
Pour moi c’est surtout ça (crises à répétition depuis des années) et l’accès au logement. Sur ces deux points, j’ai l’impression que la génération précédente était quand même mieux placée.