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    1 year ago

    L’intervenant dans cette section de la vidéo YouTube possède une entreprise agricole à Toulouse, en France. A69 La construction de l’ autoroute devrait traverser leur propriété, détruisant un tronçon de 1 km et compromettant leurs activités horticoles. En relation avec l’administration qui développe les projets publics régionaux depuis plus de 25 ans, ils affirment que l’autoroute n’est pas un projet structurant mais plutôt un renforcement des axes existants. Ils estiment que cela ignore l’impact de tels projets sur les communautés rurales et les petites entreprises comme la leur. De plus, l’orateur s’inquiète de la pollution sonore, de l’impact négatif sur son bien-être et celui des communautés environnantes. En outre, ils mentionnent que le processus d’expropriation de leurs biens et de leurs terrains perturbera considérablement leur vie professionnelle et personnelle.

    00:00:00 Dans cette section de la vidéo YouTube, l’intervenant discute de l’impact de l’autoroute A69 sur son activité horticole à Toulouse, en France. L’autoroute traversera leur propriété, détruisant un tronçon de 1 km et compromettant l’exploitation des terres agricoles voisines. L’orateur est en relation avec l’administration qui développe les projets publics régionaux où l’autoroute est prévue, et ce depuis 1995. Ils soutiennent que l’autoroute n’est pas un projet structurant, mais plutôt un renforcement des itinéraires existants, et qu’elle ignore l’impact de tels projets sur les communautés rurales et les petites entreprises comme la leur. L’orateur affirme qu’ils sont permanents et se renouvellent tous les 5 ans, et que le processus d’expropriation de leurs biens et de leurs terrains perturbera considérablement leur vie professionnelle et personnelle. Ils expriment leur inquiétude face à la pollution sonore et aux éventuels impacts négatifs sur leur bien-être et celui des communautés environnantes.

    00:05:00 Dans cette rubrique, l’intervenant partage son point de vue sur les fouilles archéologiques en cours à proximité de l’autoroute Toulouse-Castres. Selon l’orateur, les archéologues cherchent quelque chose à une profondeur de 80 cm, mais ils ne trouvent rien. L’orateur partage que la proposition de déplacer l’autoroute était de la déplacer de 150 à 200 mètres vers le nord, ce qui aurait préservé 60 % de l’activité horticole de l’orateur, mais cette proposition n’a pas été mise en œuvre. L’orateur estime que l’autoroute aura un impact négatif sur son jardin et sur ses moyens de subsistance en tant qu’horticulteur. L’orateur exprime également sa sensibilité à la question des accidents sur les autoroutes, puisqu’il a perdu ses deux parents dans un accident de voiture sur une autoroute.

    00:10:00 Dans cette section de la vidéo, l’orateur parle de l’impact négatif qu’aura la construction d’une nouvelle autoroute sur sa propriété agricole. Il cultive sa terre depuis 27 ans et a apporté des améliorations significatives, notamment en construisant une clôture autour de la propriété. Cependant, la nouvelle autoroute traversera son terrain, empêchant les animaux de se déplacer librement de gauche à droite et vice versa. L’orateur déplore que cela entraînera également des dommages environnementaux, notamment la perte d’habitats naturels et la destruction de zones humides. Il mentionne également qu’aucun budget n’est prévu pour l’indemnisation des agriculteurs qui seront touchés par la construction. L’orateur estime que le projet est incompatible avec le développement économique de la région, où l’agriculture constitue la première source de revenus. 00:15:00 Dans cette section, l’orateur évoque les difficultés rencontrées par les agriculteurs en France en raison de la baisse des prix de leurs récoltes et des taux élevés de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) qu’ils doivent payer. Par exemple, si un agriculteur cultive du blé et vend ses céréales pour 1,10 €, la TVA s’élève à 5,5 centimes d’euros, ce qui laisse à l’agriculteur une marge bénéficiaire de seulement 0,4 centimes d’euros sur le prix produit de 1,10 €. L’agriculteur se plaint que le gouvernement gagne plus d’argent avec ses cultures qu’eux, même s’il a créé les matières premières qui ont conduit à ces produits. L’orateur évoque également l’impact de cette situation sur les futures générations d’agriculteurs, car les jeunes sont découragés de rejoindre le secteur agricole en raison du manque de profits. L’orateur appelle le gouvernement à s’attaquer à cette question et à respecter son rôle dans l’économie d’un pays souverain.