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j’aime promouvoir du français. Ma renault tient toujours :) ( en fait le moteur renault est si fiable qu’on le montait dans des voitures haute gamme genre classe GLA etc)
pas encore avoir regardé la vidéo, mais un entrepreneur chercherait toujours à créer une étape supplimentaire dans un processus déja bien établi, cette étape existait bien pour lui servir des gains, mais il aime toujours pretendre que ça améliore la qualité de la vie (la plupart des cas ça améliore la vie à certains au détriment de celle d’une grande partie du reste de la societé)…avec des exceptions biensûr où l’entrepreneur apporte une valeur significative pour l’économie ou la societé
IF Metall augmente l’indemnité de grève à 130 pour cent du salaire des participants à la grève contre Tesla. “Le fonds de grève est suffisant pour environ 500 ans”, déclare Jesper Pettersson, attaché de presse chez IF Metall.
La grève d’IF Metall contre le géant multinational des voitures électriques Tesla en est désormais à sa troisième semaine. Le conflit s’annonce prolongé et aujourd’hui, lundi 13 novembre, le syndicat augmente l’indemnisation des participants à la grève à un niveau supérieur au salaire de Tesla. L’indemnité de grève est portée à 130 pour cent du salaire.
Dans le cas normal, l’indemnité de grève du syndicat s’élève à 80 pour cent du salaire, avec un délai de carence de cinq jours. Selon le journal Dagens Arbete, les travailleurs de Tesla n’ont eu aucun délai de réflexion et l’indemnisation s’élève depuis le début à 100 pour cent du salaire. Cela a changé et à partir d’aujourd’hui, ceux qui participent à la grève recevront une indemnité équivalente à 130 pour cent du salaire.
Maintenant que quelques semaines se sont écoulées, cela commence à affecter les revenus des grévistes pour les vacances et les pensions. Nous nous rattrapons désormais, déclare Tomas With, vice-président d’IF Metall, à Dagens Arbete et ajoute :
C’est un signal clair. Nous voulons être clairs sur le fait qu’il n’y a rien à perdre en se joignant à la grève.
Le fonds de grève dure 500 ans
Selon Jesper Pettersson, attaché de presse d’IF Metall, le syndicat dispose de beaucoup d’argent dans le fonds de grève.
vaut mieux consommer européen, genre zoe ou une xc40. la Tesla est bourrée de fautes d’usinage, en plus qu’elle est trop lourde et donc dévastatrice de l’infra routière. Ou imiter les suedois: exporter des auto au monde entier alors qu’eux préfereraient rouler en vélo
La vidéo montre deux hommes dégustant une cuisine française - une baguette au camembert et au vin rouge. Un homme ouvre sa caisse en bois avec un camembert parfaitement formé tandis que l’autre utilise une boîte en plastique avec un couvercle en silicone. Les deux hommes échangent des avis sur les mérites de chaque coffret. Malgré leurs différences d’approche, ils finissent tous deux satisfaits de leurs choix. La vidéo se termine par une mélodie entraînante.
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La vidéo aborde le contexte historique des heures de travail et son évolution au fil du temps. À l’âge de pierre et à l’époque médiévale, les gens travaillaient moins longtemps, avec des pauses et des périodes de repos. Ils appréciaient le temps libre et prenaient du temps libre chaque fois qu’ils en avaient les moyens. Cependant, avec la montée du capitalisme et l’introduction des horloges, le travail est devenu plus réglementé et axé uniquement sur la productivité.
Les capitalistes manipulaient le temps pour exploiter les travailleurs et imposaient des règles strictes de ponctualité. La révolution industrielle a encore transformé la culture du travail, avec des horaires plus longs et moins de temps libre. L’orateur affirme que l’attention excessive portée au travail et l’obsession de la productivité ont des conséquences négatives sur la santé et le bien-être des travailleurs. Ils plaident pour une approche plus équilibrée du travail et une reconsidération de l’importance des loisirs.
00:00:00: l’extrait de la transcription discute du contexte historique des heures de travail et de la façon dont il contraste avec la culture du travail moderne. Il souligne que les sociétés de l’âge de pierre et les travailleurs agricoles européens médiévaux travaillaient généralement en moyenne 4 à 6 heures par jour, avec des périodes de repos et des pauses entre les deux.
Ces documents historiques suggèrent que les humains ont toujours été enclins à des horaires de travail plus courts et à l’importance de prendre des pauses tout au long de la journée.
Cette perspective historique remet en question les attentes sociétales actuelles en matière de longues heures de travail et souligne la nécessité de reconsidérer notre approche de l’équilibre travail-vie personnelle.
00:05:00: Dans cette section, la journée de travail médiévale est explorée, mettant en évidence certaines différences clés par rapport aux pratiques de travail modernes. Les ouvriers de l’époque médiévale travaillaient plus longtemps pendant les récoltes ou les crises, mais n’aimaient pas le faire. Ils ont mesuré la journée en tranches de 30 minutes et ont pris des pauses constantes.
Un aspect notable était que les travailleurs recevaient de la nourriture dans le cadre de leur rémunération, ce qui allégeait un fardeau financier important. Le travail était plus informel et plus tranquille, les travailleurs étant censés se détendre ou même faire une sieste au travail. La semaine a eu un rythme lent-rapide, les lundis et mardis étant décrits comme lents et les jeudis et vendredis comme rapides. Le samedi était le jour de paie et c’était la course pour terminer le travail, tandis que le dimanche était un jour de congé complet.
Cependant, les ouvriers ont inventé une coutume appelée lundi saint, selon laquelle l’absentéisme était attendu le premier jour de la semaine de travail. Les employeurs ont appris à le tolérer, ce qui a finalement conduit au week-end de deux jours. Dans l’ensemble, la mentalité des travailleurs médiévaux différait grandement de celle des travailleurs d’aujourd’hui, les travailleurs médiévaux arrêtant de travailler dès qu’ils en avaient les moyens et valorisant leurs loisirs.
00:10:00: Dans cette section, le narrateur explique comment les travailleurs médiévaux en Europe disposaient de plus de temps libre que les travailleurs d’aujourd’hui. Ils bénéficiaient de trois grandes périodes de vacances et avaient même une tradition appelée « salaire d’hiver » selon laquelle ils recevaient une demi-journée de salaire pour une demi-journée de travail pendant les longs mois d’hiver.
Des recherches ont montré que les ouvriers agricoles espagnols ne travaillaient pas pendant 42 % des jours par an, tandis que les travailleurs français disposaient de jours de congé encore plus longs, soit 49 %. Les travailleurs anglais, bien qu’historiquement plus exploités, disposaient de 51 % de jours sans travail en période de pénurie de main-d’œuvre.
Ces schémas d’alternance de périodes de travail et de repos font écho à la façon dont les gens travaillaient dans les sociétés de l’âge de pierre et suggèrent un rythme humain naturel. Les travailleurs modernes, afin de rivaliser avec le temps libre dont jouissaient les travailleurs médiévaux, devraient bénéficier d’environ 3,5 mois de vacances par an.
Le narrateur note que les ouvriers médiévaux jouissaient d’un niveau de loisirs bien au-delà de ce que nous pouvons même imaginer aujourd’hui.
00:15:00 Dans cette section, nous découvrons l’introduction des horloges mécaniques à la fin du XIVe et au début du XVe siècle et comment elles ont transformé la culture du travail. L’horloge la plus importante a été installée à la Bourse d’Amsterdam en 1611, symbolisant la montée du capitalisme.
Les négociants en bourse néerlandais avaient leur propre version des salaires d’hiver, reflétant la culture de l’époque. Les usines textiles furent les premières à connecter l’horloge à une cloche pour signaler la journée de travail, mais les ouvriers eurent du mal à s’adapter à ce nouveau système de mesure du temps.
Les capitalistes, obsédés par l’horloge, ont convaincu les municipalités d’imposer des amendes aux travailleurs en retard. Cette relation oppressive entre travailleurs et propriétaires, alimentée par le capitalisme et l’industrialisation, a abouti à l’élimination des siestes habituelles l’après-midi et aux heures de repas raccourcies et réglementées.
La journée de travail a perdu sa culture et sa joie car elle est devenue uniquement axée sur la productivité.
00:20:00 Dans cette section de la vidéo, l’orateur explique comment les capitalistes ont manipulé le temps afin d’exploiter les travailleurs. Ils ont truqué les horloges de l’entreprise pour commencer et terminer la journée de travail plus tôt ou plus tard, et ont ensuite ajouté des mécanismes qui faisaient que les horloges s’arrêtaient et accumulaient des minutes, pour ensuite avancer soudainement pendant les pauses.
Les capitalistes ont imposé des règles strictes de ponctualité et ont infligé des amendes aux travailleurs ne serait-ce qu’une minute de retard, mais ils ont eux-mêmes rompu le contrat social pour quelques dollars supplémentaires. Les ouvriers l’ont vite compris, mais s’ils parlaient des imprécisions des horloges, ils étaient licenciés sur-le-champ.
Lorsque les montres de poche sont devenues courantes, les travailleurs les ont amenées au travail, dénonçant ainsi les manipulations des horloges par les patrons et conduisant à des appels à une réglementation et à des réformes. En réponse, les capitalistes ont interdit les montres de poche, fouillé les ouvriers avant d’entrer dans l’usine et licencié quiconque se plaignait.
L’horloge mécanique était utilisée comme un outil d’asservissement et d’exploitation, et les capitalistes donnaient la priorité au contrôle et au pouvoir plutôt qu’à la productivité ou à l’efficacité. L’adoption généralisée de l’éclairage artificiel a encore intensifié ces tendances, les capitalistes traitant chaque saison comme la saison des récoltes et imposant de longues heures de travail tout au long de l’année.
Les capitalistes ont également ciblé les jours fériés, les supprimant au profit de davantage de travail, prolongeant ainsi leur règne de terreur.
00:25:00 Dans cette section, l’orateur discute de la transformation de la culture du travail pendant la révolution industrielle. Les travailleurs sont passés d’un nombre important de jours de congé à des horaires de travail plus longs avec moins de jours de congé.
La vie des ouvriers était complètement transformée, puisqu’ils travaillaient 80 % de plus que leurs homologues du XVIIe siècle alors que leur salaire diminuait. Le changement dans la culture du travail ne concernait pas seulement le nombre d’heures travaillées, mais aussi le contrôle exercé par les propriétaires et les patrons sur la vie des travailleurs.
L’orateur fait remonter le début de ce changement à 1664, lorsqu’un capitaliste nommé Richard Palmer paya une église pour faire sonner ses cloches à des heures précises afin de contrôler les heures d’éveil et de sommeil des ouvriers. Cette obsession de la productivité et de la gestion du temps a fini par s’infiltrer dans toute la société, les journaux discutant du « problème » des loisirs des pauvres.
00:30:00: L’orateur explique comment les capitalistes du passé croyaient que les activités de loisirs des pauvres ne devaient impliquer que la culture mentale ou l’étude religieuse, comme l’étude du latin ou de la Bible.
Tout autre chose était considéré comme corrosif pour la culture. Cependant, l’orateur souligne l’hypocrisie de cette croyance, soulignant que soudoyer l’Église et en faire un outil de la classe capitaliste n’était pas considéré comme corrosif, alors que quelque chose d’aussi simple que se détendre sur un banc public après le travail était jugé préjudiciable.
L’agenda capitaliste était d’éliminer toute vie en dehors du travail et du profit. La vidéo poursuit en affirmant que dans la société moderne, l’accent excessif mis sur le travail et le temps mécanique a entraîné des conséquences négatives telles que des problèmes de santé et une perte d’autonomie et de dignité pour les travailleurs.
L’orateur suggère qu’il n’est pas nécessaire qu’il en soit ainsi et plaide pour un retour à une approche plus équilibrée, en prenant comme exemple les paysans français du Moyen Âge qui prenaient près de la moitié de l’année de congé. Les ressources et les politiques nécessaires sont déjà en place ; ce qu’il faut, c’est l’ambition de travailler moins.
tout à fait! j’utilise ce site https://www.summarize.tech/, et ça marche pas mal de fois gratuitement (pour les vidéos en anglais du moins). J’utilise des conteneurs de liens (sur Firefox, https://addons.mozilla.org/en-GB/firefox/addon/multi-account-containers/) pour transcrire plus que la limite journalière ( soit 3 vidéos par jour )
ok je vais m’y rendre pour jeter un coup d’oeil
pas de souci: j’ai pu rejoindre, mais aprés un délai
désolé, mais j’ai pas pu joindre le serveur Matrix, peut être devrais-je essayer XMPP alors …
oui j’admets c’était bizarre à lire . pourtant parce que c’est directement traduit du suédois, même en anglais l’intérprétation n’est pas satisfaisante.
franchement ça laisse à penser que les parents sont aussi complices en laissant leur enfant dans un tel environement. aurait-t-on dû investir dans une école plutôt plus favorable aux lgbt ? on sait pas encore…
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on parlera prochainement de ‘désert syndical’, ça c’est sûr. parmi les symptômes clé du capitalisme en phase terminale serait l’extinction d’un tel désert. Sinon le sol est déjâ verdoyé du côté scandinave. tant à apprendre de ces vikings!
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L’intervenant dans cette section de la vidéo YouTube possède une entreprise agricole à Toulouse, en France. A69 La construction de l’ autoroute devrait traverser leur propriété, détruisant un tronçon de 1 km et compromettant leurs activités horticoles. En relation avec l’administration qui développe les projets publics régionaux depuis plus de 25 ans, ils affirment que l’autoroute n’est pas un projet structurant mais plutôt un renforcement des axes existants. Ils estiment que cela ignore l’impact de tels projets sur les communautés rurales et les petites entreprises comme la leur. De plus, l’orateur s’inquiète de la pollution sonore, de l’impact négatif sur son bien-être et celui des communautés environnantes. En outre, ils mentionnent que le processus d’expropriation de leurs biens et de leurs terrains perturbera considérablement leur vie professionnelle et personnelle.
00:00:00 Dans cette section de la vidéo YouTube, l’intervenant discute de l’impact de l’autoroute A69 sur son activité horticole à Toulouse, en France. L’autoroute traversera leur propriété, détruisant un tronçon de 1 km et compromettant l’exploitation des terres agricoles voisines. L’orateur est en relation avec l’administration qui développe les projets publics régionaux où l’autoroute est prévue, et ce depuis 1995. Ils soutiennent que l’autoroute n’est pas un projet structurant, mais plutôt un renforcement des itinéraires existants, et qu’elle ignore l’impact de tels projets sur les communautés rurales et les petites entreprises comme la leur. L’orateur affirme qu’ils sont permanents et se renouvellent tous les 5 ans, et que le processus d’expropriation de leurs biens et de leurs terrains perturbera considérablement leur vie professionnelle et personnelle. Ils expriment leur inquiétude face à la pollution sonore et aux éventuels impacts négatifs sur leur bien-être et celui des communautés environnantes.
00:05:00 Dans cette rubrique, l’intervenant partage son point de vue sur les fouilles archéologiques en cours à proximité de l’autoroute Toulouse-Castres. Selon l’orateur, les archéologues cherchent quelque chose à une profondeur de 80 cm, mais ils ne trouvent rien. L’orateur partage que la proposition de déplacer l’autoroute était de la déplacer de 150 à 200 mètres vers le nord, ce qui aurait préservé 60 % de l’activité horticole de l’orateur, mais cette proposition n’a pas été mise en œuvre. L’orateur estime que l’autoroute aura un impact négatif sur son jardin et sur ses moyens de subsistance en tant qu’horticulteur. L’orateur exprime également sa sensibilité à la question des accidents sur les autoroutes, puisqu’il a perdu ses deux parents dans un accident de voiture sur une autoroute.
00:10:00 Dans cette section de la vidéo, l’orateur parle de l’impact négatif qu’aura la construction d’une nouvelle autoroute sur sa propriété agricole. Il cultive sa terre depuis 27 ans et a apporté des améliorations significatives, notamment en construisant une clôture autour de la propriété. Cependant, la nouvelle autoroute traversera son terrain, empêchant les animaux de se déplacer librement de gauche à droite et vice versa. L’orateur déplore que cela entraînera également des dommages environnementaux, notamment la perte d’habitats naturels et la destruction de zones humides. Il mentionne également qu’aucun budget n’est prévu pour l’indemnisation des agriculteurs qui seront touchés par la construction. L’orateur estime que le projet est incompatible avec le développement économique de la région, où l’agriculture constitue la première source de revenus. 00:15:00 Dans cette section, l’orateur évoque les difficultés rencontrées par les agriculteurs en France en raison de la baisse des prix de leurs récoltes et des taux élevés de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) qu’ils doivent payer. Par exemple, si un agriculteur cultive du blé et vend ses céréales pour 1,10 €, la TVA s’élève à 5,5 centimes d’euros, ce qui laisse à l’agriculteur une marge bénéficiaire de seulement 0,4 centimes d’euros sur le prix produit de 1,10 €. L’agriculteur se plaint que le gouvernement gagne plus d’argent avec ses cultures qu’eux, même s’il a créé les matières premières qui ont conduit à ces produits. L’orateur évoque également l’impact de cette situation sur les futures générations d’agriculteurs, car les jeunes sont découragés de rejoindre le secteur agricole en raison du manque de profits. L’orateur appelle le gouvernement à s’attaquer à cette question et à respecter son rôle dans l’économie d’un pays souverain.
s’il s’agissait du travail manuel, complémenter les ouvriers par des exosquelettes pourrait leur épargner énormement des douleurs articulaires et ossueses. aussi ne pas avoir à faire la navette tous les jours par soi-même améliora certainement l’humeur des gens
toi tu prétends vouloir démissionner et moi je prétends refuser, et comme ça on serait bien jugé par le public et aucun n’est à blamer