« Mais, a-t-il ajouté, pour les volontaires, elle était posée dès le départ et acceptée par eux, avec l’envie de participer à quelque chose qui, pour eux, n’a pas de prix. Ils savaient qu’ils ne seraient ni payés ni hébergés, à part quelques milliers d’entre eux. »
Je vais me mettre un filtre sur le mot “JO” pour préserver ma santé mentale, c’est très énervant de lire des paragraphes comme ça.
On n’a pas tous les mêmes relations, on dirait.
Bon allez, tout le monde a une résidence secondaire de 8 hectares au centre de Paris; tu peux bien y héberger 2 amis pendant une semaine ou deux non ? Ok vous serrez serrés mais un petit effort quoi !