Cette intervention gouvernementale musclée semble porter fruit : une étude récente montre que la consommation de boissons sucrées a chuté de 25 % dans les 18 mois après l’implantation de la loi, tandis que celle d’eau embouteillée à augmenté de 5 %. Les autorités envisagent maintenant d’élargir la portée de la loi en introduisant une taxe supplémentaire sur l’ensemble des produits de la malbouffe.
Un autre lien
https://observatoireprevention.org/2020/09/02/le-chili-un-exemple-dintervention-agressive-de-letat-pour-combattre-lepidemie-dobesite/