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Cake day: June 30th, 2023

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  • Je suis complètement d’accord. Pour moi, le point médian a une utilité très importante, mais assez restreinte, par exemple pour les réponses à un formulaire : “Catégorie socio-professionnelle : Agriculteur⋅ice / Salarié⋅e / Retraité⋅e”.

    Pour un texte, je préfère utiliser si possible une tournure non genrée, comme le “personne” que tu proposes. Ou si trop compliqué, je préfère une double-flexion utilisant les deux genres et un accord de proximité, qui est plus lisible, prononçable aisément à l’oral et, pour moi, tout aussi inclusif : “Le candidat ou la candidate devra être sérieuse, motivée et prête à obéir à la hiérarchie sans sourciller indépendante”.

    En vrai, j’ai fait le constat que les textes écrits en point médian finissent quasiment toujours pas l’abandonner en cours de route (les accords peuvent rapidement devenir compliqués à gérer) quand le texte est long (disons un gros paragraphe).








  • Moi c’est plus récent, mais j’avoue qu’il y une forte tendance à la baisse, qui s’explique par la hausse du recours aux contractuels, je suppose. Ce qui nous ramène à cette histoire de contrats pour moins de 15 jours.

    Mon propos général était justement de dire que tout ça est (dés)organisé et que le problème qu’ils veulent régler est artificiel et n’a pas grand-chose à voir avec les profs et tout avec leur hiérarchie et le Ministère.





  • La majorité sont prévues justement voir le commentaire de @rakoo@blah.rako.space. Mais on est d’accord qu’on peut faire mieux, mais il y a des TZR qui restent sans cours régulièrement, pourquoi ne sont-ils pas appelés? Souvent parce que le Rectorat manque de réactivité.

    Je dis pas que tout passe par le Rectorat bien sûr, juste que c’est un levier plus important que tout ce que le Pacte (par exemple) peut apporter, alors qu’on en parle jamais.



  • Y a un truc qui m’énerve particulièrement dans les débats autour de l’Éducation Nationale : pas une seule fois, l’inefficacité, la lenteur et la désorganisation des rectorats n’est mentionné. Or, la plupart des non-remplacements sont directement la faute du rectorat, quand ils ne se bougent pour un congé maternité qu’après le début du congé (pourtant souvent largement planifié), qu’ils ne se bougent pas le moins du monde pour les formations pour lesquels ils ont tous les inscrits, etc.

    Le plus gros problème de l’EN, c’est pas les profs, c’est les rectorats (et les classes surchargées). C’est là-dessus qu’il faut mettre le paquet.