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Cake day: June 12th, 2023

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  • Après c’est précisément pour éviter ces situations que je suis virulent contre les bas-votes car cela m’avait bcp affecté. Et on a pas à encaisser, ni s’endurcir.

    Je ne pense pas qu’il faille suprimer cette fonctionnalité de lemmy, mais ce serait bien d’ajouter une option pour masquer les bas-votes (et peut-être aussi les haut-votes) sur nos propres publications.




  • On a des besoins de toutes natures… Ce n’est pas que manger-dormir-s’abriter… Si je prend ton exemple de « détournement de rivières », ou plus précisément je suppose de régulation / fixation d’un lit, on ne le fait pas pour le plaisir de se dire qu’on contrôle la nature, mais parce que les inondations c’est pas pratique et ça tue des gens, surtout dans les villes. Et le biotope créé par le lit mobile ou l’inondation est quantité négligeable devant le besoin de se protéger des innondations.

    Dans la fin de ton raisonnement, tu commets le pense l’erreur de voir trop d’intentionalité. Par exemple, je ne pense pas « vouloir montrer » que l’homme est néfaste « par nature » (d’ailleurs je ne comprends pas cette notion), pour ma part, je ne vois que le fait de la concomitance entre arrivée de l’espèce humaine dans un nouveau millieu et l’extinction de la megafaune locale, et le mécanisme qui est en gros l’inadaptation des espèces locales (déjà affaiblies par des changements climatiques) face à un prédateur nouveau. C’est effectivement (cf ton petit 1) parfaitement naturel. Et pour le 2, je ne vois pas de quel fait tu parles.



  • Malheureusement, je ne suis pas sûr que l’éveil suffise…

    Dans mes moments pessimistes, je me dis que c’est la présence même le l’espèce humaine qui pose problème… Même chasseur-cueilleur ! D’ailleurs les arguments paléo et archéologiques montrent une certaine corrélation entre l’arrivée d’homo sapiens sur un territoire et l’extinction de la mégafaune. Bien sûr, les derniers siècles et millénaires montrent une nette accélération, qu’il faudrait limiter. Mais a long terme, j’ai du mal a —seulement— imaginer une planète habitée où la biodiversité se maintienne.

    Pour rester optimiste, serais preneur de contradiction…





  • Nous constatons que les espèces indigènes sont plus résilientes que ce que nous pensions.

    Ça montre qu’une espèce animale, ce n’est pas juste un génome dans des individus, mais un système dans un environnement. Les feux d’eucalyptus sont plutôt fréquent, les koala y sont résilients. « Plus que ce que nous pensions ».

    Cela montre, à l’inverse, que les efforts de conservation basé sur la conservation d’individus dans des zoos, et une réintroduction façon « parachutage » ne va hélas pas se passer comme on pense.