Soit on considère que c’est foutu, et on arrête de se battre, on arrête de faire attention à ce qu’on consomme et on vit comme s’il n’y avait pas de lendemain ; soit on considère qu’il y a de l’espoir, que ça vaut le coup de continuer à se battre, de continuer à diffuser des idées constructives et à éduquer la génération qui vient. Dans tous les cas, on ne fait pas culpabiliser ceux qui veulent des enfants ou ceux qui en ont, et qui croulent déjà sous les injonctions sociales, sociétales et familiales. Parce que, ton message, peut-être que tu ne t’en rends pas compte, est assez violent. https://theconversation.com/a-lheure-du-dereglement-climatique-doit-on-arreter-davoir-des-enfants-212631
on ne fait pas culpabiliser ceux qui veulent des enfants ou ceux qui en ont, et qui croulent déjà sous les injonctions sociales, sociétales et familiales
Je n’ai pas l’impression qu’il fasse culpabiliser, plus que c’est un constat qui est déjà vrai pour nous : on a une vie moins confortable que la génération précédente
Et j’ajoute que je n’ai pas l’impression d’avoir une vie moins confortable que la génération précédente. Une vie différente, certes. On n’a pas les mêmes aspirations, on est peut-être plus angoissé, on s’interdit peut-être plus de choses (voyages longues distances et bouffe carnée principalement pour ma part). Après, tout dépend de ce qui se cache derrière le mot confort.
Pour moi c’est surtout ça (crises à répétition depuis des années) et l’accès au logement. Sur ces deux points, j’ai l’impression que la génération précédente était quand même mieux placée.
@CeJiDe@Tetsuo surtout que l’histoire de la de-natalité pose une vraie question : si tous les gens qui ont une conscience écologique (quelle qu’elle soit) cessent de faire des enfants, à votre avis, qui peuplera la terre au bout d’une paire de générations?
Perso j’ai des enfants, et ils sont ma principale raison de vouloir pas trop saloper notre planète
Soit on considère que c’est foutu, et on arrête de se battre, on arrête de faire attention à ce qu’on consomme et on vit comme s’il n’y avait pas de lendemain ; soit on considère qu’il y a de l’espoir, que ça vaut le coup de continuer à se battre, de continuer à diffuser des idées constructives et à éduquer la génération qui vient. Dans tous les cas, on ne fait pas culpabiliser ceux qui veulent des enfants ou ceux qui en ont, et qui croulent déjà sous les injonctions sociales, sociétales et familiales. Parce que, ton message, peut-être que tu ne t’en rends pas compte, est assez violent.
https://theconversation.com/a-lheure-du-dereglement-climatique-doit-on-arreter-davoir-des-enfants-212631
Je n’ai pas l’impression qu’il fasse culpabiliser, plus que c’est un constat qui est déjà vrai pour nous : on a une vie moins confortable que la génération précédente
C’est culpabilisant, comme si on ne se posait pas la question déjà chaque jour (et pas que pour l’écologie), enfin c’est mon cas.
Je pense avoir un jour des enfants, je ne l’ai pas pris comme ça, mais je vois ton point de vue
Et j’ajoute que je n’ai pas l’impression d’avoir une vie moins confortable que la génération précédente. Une vie différente, certes. On n’a pas les mêmes aspirations, on est peut-être plus angoissé, on s’interdit peut-être plus de choses (voyages longues distances et bouffe carnée principalement pour ma part). Après, tout dépend de ce qui se cache derrière le mot confort.
Pour moi c’est surtout ça (crises à répétition depuis des années) et l’accès au logement. Sur ces deux points, j’ai l’impression que la génération précédente était quand même mieux placée.
@CeJiDe @Tetsuo surtout que l’histoire de la de-natalité pose une vraie question : si tous les gens qui ont une conscience écologique (quelle qu’elle soit) cessent de faire des enfants, à votre avis, qui peuplera la terre au bout d’une paire de générations?
Perso j’ai des enfants, et ils sont ma principale raison de vouloir pas trop saloper notre planète