Ça c’est un peu rattrapé après l’allocution de Macron, mais les médias de masse ont été absolument minables. Leurs attaques morales étaient pathétiques quand on sait à quel point la situation là-bas est tragique et il y avait quelque chose de très malsains à prendre des historiens de haut dès que ces derniers abordaient le contexte de ces attaques. Des « procès médiatiques », typique des régimes autoritaires.

Je ne suis pas dans les couloirs des rédactions parisiennes, mais je soupçonne que le but était d’ouvrir la voie au discours de Macron.

Apparemment, le pouvoir a peur d’une scission du pays sur cette question et les journalistes (dont les accointances avec le pouvoir semble ici difficile à cache) se sont comporté comme des chiens de gardes (un reproche qu’on leur fait souvent). C’était affligeant…