Hello there,
Ce post n’est surtout pas la pour récolter de la pitié et des encouragements etc. Pls, pls, dont need it.
Je need de la bonne notif la XD.
J’aimerai avoir des réponses de dépressifs, de gens qui ont tenté ou déjà pensé mettre fin à leur vie. Mais (tout ce quil ya, avant un mais cest de la merde dixit Ned Eddward starck ) Mais donc, Qui aujourd’hui sont confiants et savent qu’ils vont mourir mais pas de leur fait. Car cest la vie. Qui vivent juste.
Bon le sujet,
Jai aucune confiances aux psychiatres, pour eux cest toujours nous le souci. Jamais l’environnement.
Jai déjà un jour vu un médecin (2017), il mavait prescrit des antidépresseurs dont jai galère à me remettre. Je ne veux pas de médocs.
Mon problème sera réglé par moi même et ma volonté, cest tout.
Cette dépression s’éternise mais manque de bol un jour quelqu’un à mis fin à sa vie en me prenant pour témoin integral malgré moi. Depuis ce jour cest franchement une catastrophe mentale. Et pas à cause du spectacle/son (un temps si) mais surtout car finalement je suis pas celui qui à fait ça.
Jai du voir une psy pour m’aider à baiser mon cerveau et ne pas revivre l’événement, car sinon c’était chaud. Jetais encore du rire au larme genre pendant 2mois apres. Ca ma posé soucis avec le job ofc. Mais PTSD done.
La je suis à mon état initial d’avant ca la. Mais franchement je mepanoui pas.
Si jaime faire de la guitare, par exemple, j’aurai un moment de repis ou je me demande “what for”. Si je vais jouer, je suis capable detre dans ma zone (état inerte vu de l’extérieur) pendant un temps avant de finalement jouer si j’en ai encore envie.
Voilà comment vous faites avec ce what for avant que la mélancolie s’installe puis quelle ne reparte. Cest quoi votre petit trick à vous pour baiser ce truc , quand vous etes tout seul, isolé, sans rien pour vous forcer a rester la tête sur terre, dans le moment présent ?
Car la franchement la weed ca marche plus du tout, du tout.
Jai cracké il ya pas longtemps et me suis mis bien avec du tramadol en même temps que de gros gros pet. Mais cest la voie de la mort.
Et tout ces débats sur la fin de vie me rendent jaloux de pas être vieux…et mempechent quelque part de tourner la page sur mon " moi suicidaire".
Mais je sais que je veux rester en vie.
Jai fait une infection il ya pas longtemps, qui s’est bien répandue (diagnostic initial : inflammation donc retour maison avec des anti-inflammatoires qui ont repandu linfection, les urgences mdrrr ), et un du coup apparemment, un choc sceptique à la maison (les infirmières m’insultaient etc le second coup, jai préfère rentrer à la maison ce soir la pour dormir au chaud). Jaurai pas du, mais Je me suis battu pour être dans une maison de santé le lendemain et qu’on s’occupe de moi. Je sais clairement que je veux vivre.
Je ne suis plus " suicidaire" donc. La mort recente de mon chat ne mas pas donnée envie de crever par exemple. Jai réagi normalement avec de la haine, colère , tristesse etc, el classico.
Je vais dodo, je m’endors avec des pensées positives souvent, mais bordel quand même il ya toujours des moments de mélancolie extrêmes. Mais je n’ai plus de crises d’angoisses ingerables genre.
J’aimerai retrouver le plaisirs de faire ce que j’aimais sans devoir me forcer.
Cest quoi votre truc ou le chemin que vous avez pris pour vous retrouver et être vous. Puis je faire du préventif plutôt que de tricker le cerveau une fois dans cet état ?
Si vous décidez de supprimer ce post je le comprendrai tout à fait et cela n’engendrera aucune conséquences, pas de chantage ou que sais je ici !!
Ce qui ne marche pas : Cuisiner -> si mon état dure 3 jours bah pendant 3 jours la nourriture me degoutera limite.
Ce qui marche actuellement : Guitare, Marcher dans le froid, Jouer au pc, et sans muter online now :), La fumette avec des vidéos d’humoristes, Faire mon ménage si je me motive fort,
J’aimerai refaire mes activités sans me forcer , être comme tu décris. Mais visiblement je me bloque car c’est y penser. Tas vraiment pas une idée du déclencheur ? 🥺
J’essaierai d’y réfléchir mais rapidement je pense que c’était un ras le bol qu’on me marche dessus. Je ne suis pas devenu une pourriture qui méprise les autres, mais plutôt la fatigue de ne pas vivre ma vie. C’est cette vie que j’ai découvert par la suite. C’est bizarre mais j’ai du mal à voir comment ça a bougé.