cross-posted from: https://jlai.lu/post/434712

[Extrait de l’article]
« L’équipe tient car on n’est pas parti de grands principes. Sur le salaire, par exemple, on a fait un travail avec le Réseau salariat [une association d’éducation populaire] pour comprendre les enjeux des différences de salaires, et c’est au bout de ce processus qu’on a choisi l’égalité des salaires », précise Benjamin. Cette égalité salariale permet aussi de pouvoir financer 17 postes grâce aux actes de soin [2] Aujourd’hui, les 17 salarié·es du centre touchent environ 1.800 euros nets par mois pour un « équivalent temps plein ».
[…]
Cinq médecins généralistes, une infirmière, deux kinés, deux accompagnants sociaux, une médiatrice, trois personnes à l’accueil, une accompagnante à la vie relationnelle, deux coordinat·rices administrati·ves, un·e orthophoniste.

  • nicocool84@sh.itjust.works
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    ·
    11 months ago

    Parce que sans l’attrait du pognon personne ne ferait des études longues ? Et si c’était l’inverse, et que le pognon attirait que les personnes les moins soucieuses d’étudier, et qui ont le moins d’envie viscérale de soigner leurs prochains ?