Soit, ça se défend. Je dois avouer que je suis pas très compétition sportive de base, donc mon curseur “absurde” sur la dépense en fric, énergie et CO2 est assez bas, mais je veux bien admettre que relativement parlant au reste de l’événement, ce sont de bons arguments que tu nous donnes là.
(Par contre, inclure les DOM-TOM, c’est bien, je suis d’accord, mais l’article montre justement que les polynésiens là, ils sont pas super contents !)
“Des” polynésiens ne sont pas contents. Et dans les mécontents, il y a les loueurs de logements touristiques qui souhaitaient que les athlètes soient hébergés dans les leurs logements touristiques . Ils sont mécontents parce qu’ils en veulent davantage. Pas parce qu’ils en veulent moins. Mais ils ne se rendent pas compte du bordel d’un “village olympique” et des impacts lourds sur l’infrastructure. Il est rare de voir des villages olympiques qui ne sont pas devenus des verrues par la suite. Barcelone est une exception réussie par exemple.
Soit, ça se défend. Je dois avouer que je suis pas très compétition sportive de base, donc mon curseur “absurde” sur la dépense en fric, énergie et CO2 est assez bas, mais je veux bien admettre que relativement parlant au reste de l’événement, ce sont de bons arguments que tu nous donnes là.
(Par contre, inclure les DOM-TOM, c’est bien, je suis d’accord, mais l’article montre justement que les polynésiens là, ils sont pas super contents !)
“Des” polynésiens ne sont pas contents. Et dans les mécontents, il y a les loueurs de logements touristiques qui souhaitaient que les athlètes soient hébergés dans les leurs logements touristiques . Ils sont mécontents parce qu’ils en veulent davantage. Pas parce qu’ils en veulent moins. Mais ils ne se rendent pas compte du bordel d’un “village olympique” et des impacts lourds sur l’infrastructure. Il est rare de voir des villages olympiques qui ne sont pas devenus des verrues par la suite. Barcelone est une exception réussie par exemple.